2 Nice 4 Rock'n Roll !

Communication feat. Strat' – Music (Web Rmx)


Mon téléphone sonne. C’est la grande sœur qui me bippe. Le top signifiant qu’elle est sur le périph’. Je me dépêche d’aller la rejoindre à Bercy où, Dieu bénisse cette aînée véhiculée, je déposerai mes affaires dans le coffre de sa voiture. Pratique hein.


Mine de rien on se les pèle. Ya du monde qui fait la queue pour la fosse. Du grand brun partout, mes yeux se font plaisir. On avance vite. Le mec qui fouille me drague. J’ai pas le temps Monsieur t’es trop petit trop vieux ma sœur attend et je me les pèle.


On opte pour le coté gauche, on se glisse dans la foule. Ouais ça ira on verra bien, si les géants de devant se poussent un peu.
La lumière s’éteint. Bercy hurle. Je chuchote un « vous excitez pas les gars c’est pas Linkin Park ». Oui, pas de quoi s’exciter sur The Futurheads. J’applaudis la première chanson avec ironie. Refrain lancinant « five four three two one ». Bravo les mecs, vous savez décompter. Ma sœur aime bien, alors je dis rien.
Sixième (ou septième) chanson. Je regarde l’heure. Je crie un « allezzzzzz » qui sonne comme un «dégagez je paye pas 50€ pour de la pop anglaise ». En plus je reconnais la chanson. La première que j’arrive à fredonner. Si je connais c’est surement que c’est la dernière. Ça loupe pas. « Thank you Paris ». Ouais ouais allez, rallumez la lumière bordel.


Oui je suis un peu amère. Le dernier album de Linkin Park m’a peu convaincue (où elles sont les grosses guitares, et la grosse batterie ?). Puis je suis pas fan de Bercy. Trop grand. Trop impersonnel. Mauvais son. Et même du haut de mon 1m80 je suis pas assurée de voir la scène…
Entracte. Un autre mec de sécu me drague. Ma sœur ricane (ah tu pensais pas que je t’avais vue hein !). Les gens du fond commencent à vouloir gruger. Je bouge pas d’un poil, et ceux qui me marchent dessus se mangent un coup de pied. Je m’en fou j’ai l’air innocente à tapoter des sms sur mon téléphone.


Les lumières s’éteignent. Enfin ! On va pouvoir s’amuser un peu.
La scène est sobre, mais a un air de machine de guerre. On sent les moyens colossaux sans jouer dans le trop, ou dans le superflu. Linkin park, étiqueté comme commercial, a réussi son bizz. Ils sont friqués ça se voit, mais restent humbles.
« The requiem » résonne dans la salle hurlante. Première piste du dernier album, prévisible. Mais en même temps, c’est une superbe intro. Sublimée par les effets visuels. La pression monte dans Bercy. Des ombres s’avancent sur scène. Ma sœur, devant moi, grimpe sur la pointe de son 39.
Le discours d’intro de « Wretches and Kings » résonne.


Cool. Je l’aime beaucoup, celle là. Jugée trop rap pour certaines radios ‘rock’ qui préfèrent passer du Christophe Maé. Moi elle me va. Et avec elle je suis assurée de hurler quelques couplets sans me tromper.
Mike Shinoda est à son summum. Il ferait 10cm de plus il serait un Dieu pour moi. Trop petit, je le laisse à ma sœur, je prends le guitariste. Grand, brun, barbu, (riche).
Chester Bennington a survécu au dernier Saw. Parfait. Je me demande s’il tiendra jusqu’à la fin du concert à s’égosiller autant.


Bercy kiffe. Hurle. Transpire. Bouscule.
Un peu trop. Je tapotte la blondasse devant moi en lui faisant comprendre que si elle veut faire un pogo seule comme une conne, elle devra s’éloigner de ma sœur.
La voix de Chester semble tenir la route. Pas d’autre pogo à l’horizon. C’est propre tout ça dites donc. Leur premier album était étiqueté métal. Je trouve qu’on en est loin…
Je suis un peu frustrée à vrai dire.
« Empty spaces », septième chanson de la stelist, commence.
Là j’ai une impression qui ne partira pas jusqu’à la fin du concert : Linkin Park est là pour faire son taff. Le show est bon. La qualité du son est bonne. Les enchaînements ont un sens. On sent même une ‘ligne éditoriale’ moralisatrice sur guerre et paix (rien à voir avec les éditions Plomb). Mais aucun échange avec le public.
Je suis habituée à Limp Bizkit, où Fred bavarde avec nous.
Là, Chester est juste venu faire sa part du taff. Ca manque un brin de générosité. Frustration.
C’est dommage, pour une fois qu’il y a une bonne qualité sonore.
Qualité sonore dont on profite pleinement sur l’incroyable intro de  » When they come for me «  qui a une puissance folle en live.


« Breaking the habit ». Seizième chanson. J’ai super chaud là, pas vous ? Je me fais de l’air avec les mains. Non ça va pas. Je me glisse vers ma sœur « je me sens pas bien je vais sur le coté ». Je fais trois pas, je vois plus rien. Je la sens me prendre le bras. J’entends « respire respire ». Je m’exécute. Derrière, Chester chante. Je titube jusqu’au coté. Manque de pot ya un mec de la sécu. Tout ce que je veux c’est m’appuyer contre quelque chose, avoir un peu d’air. Il doit vouloir s’embrouiller, et me pousse jusqu’à l’infirmerie.
Je vous passe les détails. Embrouille avec la sécu qui me laisse pas le choix, le pompier qui me prend pour une handicapée avec son fauteuil roulant, le mec bourré qui me drague alors que je mange mon sucre, verte de rage. Texto à ma sauveuse : « bouge pas ».
Un groupe se forme pour être relâché dans la fosse. Je m’y jette, encore tremblante.


Retour en fond de fosse. Je saurai plus tard que je n’ai loupé que « Shadow of the day ».
Je m’engage, bien décidée à la rejoindre tout devant avant la fin de « Crawling ». « A place for my head » commence, j’arrive tout devant. Je vois rien mais je la devine. Elle est un peu pale, elle a eu peur. Désolée.
Au final tant mieux. On est vachement mieux placées. Chester et Mike sont à même pas 8m de nous. Et le chinois sur ses platines se fait sacrément chier. Impressionnant lui dans son genre. On reconnaît pas le batteur. Bordel c’est pas le même beau brun que d’habitude ! On aurait presque envie de crier « hey les mecs vous avez pas remplacé le bon, c’est le DJ qui fout rien là ! ».
Bref. Je me tiens à carreau, je crie plus trop, je saute plus trop. Pas à l’abri d’une autre crise.


Vis ma vie d’hypoglycémique.


« One step closer » se termine. Rappel éclair. Tellement que sur le coup je ne capte même pas que s’en est un.
Six chansons passent, dont les très bons « The catalyst » et surtout « In the end ». Chester a la voix qui fatigue, mais j’admire. Il est impressionnant.
Je commence à faire un bilan du concert dans ma tête. Pas de playback : au chant rien à redire, ils assurent. Une setlist bien menée, mais qui noie les rares morceaux métal au milieu d’un rock grand public. Une belle technique : son, décors, lumières, écrans… Les guitares et batteries qui me manquaient sur le dernier album sont là. Plutôt cool.
Mais toujours cette impression froide. Ils sont là, ils font leur job, ils repartent. Rien à taper du public. Je débriefe avec ma sœur en rentrant. Elle a cette impression aussi. Alors qu’elle les aime 6 fois plus que moi. J’arrête enfin de douter de mon objectivité.


Les lumières se rallument. « Bleed it out » a été la dernière chanson d’une setlist qui en compte 26 (soit 1h40). Une dernière chanson qui restera en travers de la gorge de ma sœur… Parce que comme si la soirée n’avait pas été assez rock’n roll pour nous, une des baguettes du batteur atterri au dessus de nous. Retombe à nos pieds. Une fille est déjà par terre. Ma sœur c’est une nana bien. Elle se jette pas, de peur de la blesser. Pas comme ces deux débiles derrière moi qui écrasent la blonde par terre pour récupérer le Saint Graal. Dans le regard de ma sœur je lis frustration, colère, et envie de meurtre. Ils sont trop grands pour qu’on se jette sur eux… Désolée Charlène.


Mais promis, la prochaine fois je t’emmènerai récupérer les baguettes directement en backstage.

Et signées.


Linkin Park



Setlist:
1. The Requiem
2. Wretches and Kings
3. Papercut
4. Given Up
5. New Divide
6. Faint
7. Empty Spaces
8. When They Come for Me
9. No More Sorrow
10. Jornada del Muerto
11. Waiting For The End
12. Wisdom, Justice, and Love
13. Iridescent
14. Numb
15. The Radiance
16. Breaking The Habit
17. Shadow Of The Day
18. Crawling
19. A Place For My Head
20. One Step Closer
Encore:
21. Fallout
22. The Catalyst
23. The Messenger
24. In The End
25. What I’ve Done
26. Bleed It Out

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MGMT en live grâce à Spotify

Posted by Azulita On septembre - 21 - 2010


Comme vous le savez grâce à cette page, MGMT sera au Bataclan le 8 octobre prochain.
Petite salle dit arrachage de places, et malheureux fans qui n’ont pas pu en avoir…


Mais il vous reste encore une solution: aller sur l’application Spotify de votre Blackberry (et Blackberry uniquement !), ou sur le blog, pour voir le concert dans son intégralité. C’est en live, a priori, donc ne manquez pas le coup d’envoi à 21h !
Au pire, vous pourrez toujours le voir pendant un mois en VOD.


Et pour appâter le public, Spotify fait gagner sur son blog 2*6 places pour voir MGMT en vrai, le lendemain, et toujours au Bataclan !


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[LIVE REPORT] Limp Bizkit – Olympia (Paris) – 08.09.2010

Posted by Azulita On septembre - 9 - 2010


5 juillet 2009. Zénith de Paris. Je prends pleine conscience de la puissance de Limp Bizkit alors que je m’égosille sur ‘Take a look around’. C’était pas gagné. Ma présence ici n’est alors due qu’à une impulsion nostalgico-lycéenne.


Juin 2010. Sous mes yeux : « Limp Bizkit bientôt à Paris ». Je me renseigne. Mon cerveau bloque sur un mot : Olympia. Flash : ma meilleure amie est fan – son anniv approche – j’ai pas encore de cadeau – la salle est mythique – le live au Zénith était ouf. Trois secondes plus tard : les places sont achetées. Deux heures plus tard, ses yeux s’illuminent quand je lui apprends la nouvelle.


8 septembre 2010
19h. Sous mon parapluie rouge, j’attends devant le Lancel d’Opéra, espérant que mes cheveux ne friseront pas.
19h03. La raison de ma présence ici, sautillante et souriante, s’avance vers moi.
19h11. McDo. Comérages et repérage des autres euphoriques avec qui, dans moins de deux heures, nous vivront un live sans précédent.


20h05. Photo de la devanture de l’Olympia dans mon iPhone, nous savourons le plaisir crescendo à notre entrée dans l’arène. The Blackout, en première partie, a déjà commencé. Le chanteur n’est pas le même que d’habitude, qu’on me dira plus tard, mais je m’en fiche. Il est beau, sa musique est bonne, il chante bien…
20h15. Je suis amoureuse.


21h04. La première partie est terminée depuis 34 minutes. A côté de moi le sosie de Justin Bieber a du se tromper de concert. La salle hurle et s’impatiente. Les lumières s’éteignent. 2 000 métalleux enragés s’égosillent. Les poils de mes bras se hérissent, un sourire apparaît sur mon visage. Deux symptômes d’un syndrome appelé ‘surkiffage’ qui, à l’heure où j’écris, ne se sont toujours pas effacés.
21h05. Les premières notes de ‘Pure Imagination’ retentissent. Je hurle.
21h06. La scène s’allume. En face de moi : Wes Borland, torse nu, cheveux longs, peint en noir. Je re-tombe amoureuse. Je re-hurle. A ce moment, je ne perds pas que ma voix. Je perds notion du temps.


Mes souvenirs s’organisent alors en temps forts.


La quatrième chanson se termine. Fred nous parle. Me revient le souvenir qu’il est un maître pour introduire les chansons. A la fin de son histoire de génie, il fait un vœu : « I wish we could fly ». Le public, déchainé, reconnaît ‘My generation’ et crie sa joie. Je l’attendais, moi aussi. C’est la première que je connais sur le bout des doigts. Je n’en loupe pas une phrase.
Comme tout au long de ces deux heures de live, les 2 000 hurlent et sautent au rythme de la voix d’un Fred habillé d’un maillot de Garnett, joueur des Celtics. L’instru avant le refrain final retentit. La foule se calme, et attend l’explosion. Bon public, tout le monde connaît bien la chanson et se prépare au final puissant d’une chanson mythique.
Limp Bizkit est fourbe. Limp Bizkit fait durer l’instru. Hurlements de frustration impatients. Fred repère un fan. Il le fait monter sur scène. Instant unique. Le public, incroyable, hurle sa joie à ce fan, sans une note de jalousie. Les rockeurs ont un grand cœur.
« Who gets the blame… ? » C’est Fred, au micro. C’est signe que l’explosion approche. L’instru se termine après 4 minutes d’attente. Les lumières s’allument. Le refrain explose, sous le cri et le saut d’un Olympia à l’unisson.


Je me retourne. Elle est là. Yeux grands ouverts, sourire impressionnant. Regards croisés. 2 000 personnes s’admirent. Prennent conscience de l’aura particulière qui règne ici.
Béats, tous semblent se poser la même question : « C’est donc ça, l’orgasme ? »


La huitième chanson est précédée elle aussi d’un speech.
Fred n’est pas poli. Il fuck ce qu’on pense. Il fait ce qu’il fucking veut. Il veut chanter sa fucking chanson préférée.
Mais on me la fait pas à moi. Je m’étais renseignée. Je comprends alors qu’il va chanter une de mes chansons préférées, à moi aussi.
Elle me regarde et goute à ma joie. Je hurle en chœur avec Fred les paroles de ‘Yellow’, chef d’œuvre de Coldplay. Autour de moi personne ne bronche. 1 999 personnes attendent la fin. Une personne prend son pied et chante à tue-tête.
Moi aussi, je fuck ce qu’ils pensent.


‘Walking away’ se termine, les lumières s’éteignent. Regards interrogateurs. Quoi ? Déjà ? Regards à la montre. Oh merde, 22h23. Ca passe vite. Oh merde.
Hurlements. Acclamations.
Cinq minutes d’attente.
Le rappel commence.


Prise de conscience générale que c’est maintenant ou jamais. Il faut se lâcher. Dans 4 chansons, ce sera terminé. Dans 12 minutes, tout cela ne sera qu’un souvenir.
L’Olympia hurle plus fort. Saute plus haut. Les slammeurs sont nombreux. Les pogos sont violents. Wes Borland est plus sexy que jamais.


22h50. Elle me regarde, béate. Je m’entends prononcer un « oh non ».
‘Faith’ vient de se terminer. Les lumières sont allumées. Les gens sortent.
« Oh non, c’est terminé ».


Le lendemain, 7h.
Mon réveil sonne. Mes genoux hurlent. C’est leur tour après tout. Ma gorge gratte. Son tour à elle a trop duré hier soir.
Ma bouche fredonne un « do you think we can fly… ».
Je prends conscience que ce concert a soulevé des questions. Des questions auxquelles je m’empresse de répondre au cours de la journée.
Parce que non. Impossible de travailler. Pas après ça. Pas après eux.


J’ai toujours pensé qu’il y avait un avant Prodigy, et un après Prodigy.
Aujourd’hui je suis certaine qu’il y a aussi un avant Limp Bizkit.


Je me délecte de l’après Limp Bizkit.



SETLIST
1. Pure Imagination (Intro)
2. Why Try
3. Show Me What You Got
4. Hot Dog
5. My Generation
6. Livin’ It Up
7. 9 Teen 90 Nine
8. Yellow (Coldplay cover)
9. My Way
10. Rollin’ (Air Raid Vehicle)
11. It’ll Be OK
12. Break Stuff
13. Walking Away
Rappel:
14. Eat You Alive
15. Take A Look Around
16. Nookie
17. Faith (George Michael cover)


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Arcade Fire chez toi

Posted by Azulita On septembre - 2 - 2010


Alors que le dernier Stone Sour tourne dans mes oreilles (ça s’écoute ici mes petits padawan), je me penche sur le cas Arcade Fire et sur leur super idée.


Le groupe vous propose de voir votre maison dans leur tout nouveau clip !


Pour tout vous avouer, j’ai testé au boulot et j’ai pas pu m’empêcher de lâcher un ‘ow putaiin’


Le principe est simple: il suffit d’aller sur The Wilderness Downtown et d’entrer son adresse postale (ou n’importe laquelle de votre souhait).
A ce moment là, Google Street View envoi les images du lieu, et elles sont appliquées à un clip multi-fenêtres où un homme à capuche court… dans votre rue !


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A l’heure où tout le monde s’exprime sur les risques de la géolocalisation, ce petit bijoux montre qu’il n’y a pas que du mauvais dans les trouvailles technologiques.
Attention tout de même: ça bouffe pas mal de puissance donc fermez des programmes ou changez d’ordi si ça rame. Eh ouais, le site est conçu pour Google Chrome et utilise le HTML 5 au lieu du flash…


Ce clip a été tourné par Chris Milk, qui signe aussi des vidéos pour U2, Green Day et Gnarls Barkley, et il connaîtra une vie exclusivement sur le Web. Pas de version télé a confirmé Rebecca Webster, agent de relations publiques pour Arcade Fire. Plutôt «une expérience musicale conçue exclusivement pour le Web moderne», selon le communiqué de Google.
Le making-of ici.


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Stone Sour en live

Posted by Azulita On août - 31 - 2010


Breaking News: Stone Sour se plie à la mode de la diffusion live sur Internet !


Le concert à New York ce soir sera en direct sur leur site.
Ce sera quand même mieux que Les Experts sur TF1 !

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Goodbye Pink Floyd

Posted by Azulita On août - 30 - 2010


L’info a quelques jours déjà, mais j’étais en « vacances » (importants, les guillemets) du coup je ne rattraperai pas tout, mais là quand même…


Bref, il n’est désormais plus possible de télécharger les albums « The Wall » et « Animals » sur iTunes ou sur Amazon…
Le contrat de distribution qui liait Pink Floyd à EMI s’est achevé le 30 juin dernier, et les négociations qui ont suivi pour une éventuelle reconduite, ont échoué.


Bonne nouvelle pour ceux qui auraient eu envie de les acheter légalement: il y a encore des CD en stock, même si c’est plus cher.
Mauvaise nouvelle pour les radins: les premiers mails d’Hadopi devraient arriver en septembre…



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Du DL gratuit en veux-tu en voilà !

Posted by Azulita On août - 6 - 2010


Deux groupes, aujourd’hui, proposent des titres en DL gratuit.


Déjà on a OCEANSIZE, que tout le monde, sans le savoir, connaît obligatoirement (ya qu’à faire ‘play’ sur la vidéo).
Bientôt sort leur nouvel album: Self Preserved While The Bodies Float Up. Pour l’occasion ils seront au Nouveau Casino (Paris) le 9 novembre prochain. Mais surtout ils mettent en téléchargement un titre inédit de leur nouvel album… Et pour avoir ce morceau il suffit simplement de twitter la news, ou de la mettre sur Facebook !
C’est ici que ça se passe !



Et sinon, après le superbe Free the bees en 2004, THE BEES marquent le coup de leur retour en offrant un titre à chopper sur leur myspace..


ENJOY !

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Trent Reznor 2.0

Posted by Azulita On juillet - 8 - 2010


Il est beau, il est bon, et il est branché !


Trent Reznor, du groupe Nine Inch Nails mais aussi de How to destroy angels, a bien compris l’importance de la présence des artistes sur Internet (pas comme un certain Prince…).
On avait déjà connaissance (ou pas) de l’application iPhone Nine Inch Nails, de la distribution gratuite d’une série d’albums Ghosts I-IV en digital, de la diffusion des rushes de son dvd live Lights In The Sky, mais aussi de son compte Twitter très bien alimenté.


Quoi de plus naturel alors pour un musicien aussi ouvert au 2.0 que d’être choisi pour faire la bande originale de THE SOCIAL NETWORK, le film consacré au réseau social Facebook (qui sortira le 1er octobre 2010) ?
Sachant que j’ai connu le groupe tard avec la somptueuse BO du film 300, j’ai hâte d’entendre ça quand même.



Mais c’est un bon gars, ce Trent, il a même annulé ses vacances juste pour ça… « Quand, j’ai effectivement lu le scénario et réalisé ce qu’il était en train de faire, j’ai tiré un trait sur les vacances que je m’étais planifiées. »


Et dire que certains s’amusaient à prétendre que seuls les goths et les geeks écoutaient encore du Nine Inch Nails… ben nan, juste les geeks ! :D



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Un titre de Mt. Desolation offert

Posted by Azulita On juin - 22 - 2010


Je ne sais pas si c’est propre au rock, mais il y a en ce moment une mode qui commence à toucher pas mal de band: quitter son groupe pour aller en faire un autre ailleurs.


J’ai fais l’expérience des succulents Petits Pois à Rock en Seine 2009: John Paul Jones (Led Zeppelin), Josh Homme (Queens of the Stone Age) et Dave Grohl (Foo Fighters). Aujourd’hui on les connaît sous le nom (souvent sans savoir que c’est eux) de THEM CROOKED VULTURES (ça t’en bouche un coin hein ?).
J’ai aussi connaissance de Trent Reznor (Nine Inch Nails) formant How to Destroy Angels avec sa femme. Et depuis longtemps, on connaît Corey Taylor et James Root qui n’arrivent pas à se décider entre Slipknot et Stone Sour


Bref, tout ça pour vous dire quoi ?
Eh bien que vous pouvez télécharger gratuitement des titres de Mt Desolation, un groupe formé lui aussi d’autres membres de groupes.
Mt Desolation est donc composé de:
Ronnie Vannucci (batteur de The Killers)
Tim Rice-Oxly (clavier, auteur, et compositeur de Keane)
Tom Hobden (Noah and the Whale)
Winston Marshall (joueur de banjo de Mumford & Sons)
+ Jesse Quinn, bassiste


On peut d’ors et déjà télécharger le premier titre de leur album prévu fin 2010, et c’est ici que ça se passe.


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The Dead Weather en mode Gorillaz

Posted by Azulita On mai - 1 - 2010

Je n’en avais pas parlé ici (faute de temps, désolée…), mais Gorillaz faisait hier un concert au Camden’s Roundhouse de Londres, rediffusé sur MTV et sur leur site officiel.


Une idée qui fait son chemin puisque le 3 mai prochain, lors de leur concert au siège de Third Man Records (label de Jack White), The Dead Weather rediffusera l’événement en streaming, en live et gratuitement sur son Myspace officiel.
Damn cette phrase était longue. Attendez je reprends mon souffle…


Mis à part ça, la bande de Jack White et Alison Mosshart développent leur initiative de ‘promotion musicale 2.0‘.
Il suffit en effet de Tweeter pour se voir offrir au téléchargement le titre ‘Hustel and Cuss’, issu de leur dernier album: ‘Sea of Coawrds’ (sortie le 11 mai). En plus, vous pouvez même gagner des places VIP pour le festival Bonnaroo, donc vraiment, je vois pas ce que vous foutez encore ici à lire ces lignes…


Et si jamais ya encore quelqu’un qui lit, alors je te prie cher lecteur de découvrir mon titre préféré des Dead Weather:




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